La fourmi charpentière joue un rôle important dans l’environnement. Nécrophage, elle se nourrit de petits animaux morts et de plusieurs types d’insectes. Dans la nature, elle contribue a la dispersion de bactéries qui peuvent nuire à l’environnement. Cette fourmi débarrasse environ de 60 à 90 % des petits cadavres morts dans la nature qu’elle transportent dans sa fourmilière.
Les fourmis lorsqu’on les retrouve dans notre maison, localisent les infiltrations d’eau et s’installent en causant de grands dommages à la structure de la bâtisse en creusant des galeries.
Il y a deux types de fourmis particulièrement difficiles a éliminer (la charpentière et la pharaonne). Il est recommandé de faire appel à un expert en gestion parasitaire sur le grand Montréal. Nous sommes des exterminateurs qualifiés et professionnels depuis 2008.
Nous nous déplaçons sur les lieux de votre maison pour vous faire une expertise et un devis personnalisé avec plusieurs alternatives. Si le prix vous convient, nous pouvons commencer les travaux immédiatement pour empêcher que l’infiltration de ce type d’insecte s’installe chez vous.
Description physique de la fourmis charpentière:
Il existe plusieurs espèces de fourmis au Québec.
La fourmi charpentière comporte plusieurs types de fourmis dans sa colonie. Il y a les mâles et les femelles ailés pour la reproduction d’autres nids satellite et maître qu’on retrouve seulement après la troisième année du nid royal ou (maître).
On retrouve également les ouvrières, les nourrices, les butineuses, les soldats ou gardes qui protègent la colonie, les broyeurs (ceux qui creusent dans le bois ou dans l’uréthane), sans oublier la Reine la plus imposante du nid, il y en a seulement une par nid royal.
Son corps noir comporte une rayure grisâtre et trois paires de pattes faciles à identifier pouvant mesurer de 1/4 à 3/8 de longueur. La Reine par contre, peut atteindre près d’un pouce de long dans certain cas.
Cycle de vie de l’insecte:
La Reine vit en moyenne de 25 à 30 ans, son nid peut atteindre jusqu’à 6,000 individus, tout dépend de la saison, de la chaleur et de l’humidité. Le mâle vit en moyenne de une à trois saisons maximum, après l’accouplement de la vierge sexuée.
La future reine n’a plus besoin du mâle, car son abdomen contient une spermathèque, qui permet de produire des milliers d’œufs. Les ouvrières vivent en moyenne d’une année à cinq années, par la suite elles sont remplacées par d’autres ouvrières pondues par la reine.
Mœurs et vie dans la fourmilière:
Une colonie bien établie varie en moyenne de trois à six ans et peut compter de 2000 à 6000 individus. La reine est la seule reproductrice du nid, ses œufs son bien gardés et alimentés. La reine est nourrie par ses ouvrières et ne quitte pas son nid. La fécondation a lieu en plein vol. Le thème bien connu est « le vol nuptial ».
La reine s’occupe elle-même de sa première couvée. Par la suite, ce sont ces dernières (les ouvrières) qui prennent en charge toute la colonie et l’entretiennent ainsi que toute la progéniture suivante. De cette façon, la reine consacre toute sa vie à pondre et à assurer sa survie.
Pourquoi sont-elles nuisibles?
Lorsqu’elle pénètre dans notre maison, la fourmi localise les infiltrations d’eau, ou un bris près du salage d’une ouverture près des points d’eau à l’intérieur de la maison, exemple : toilettes, cuisine, évier et douche. Elles peuvent aussi entrer par l’entre-toit, joint de brique, fenêtres et portes, fascia, et la fondation de notre maison la solive la lisse ou (lisse d’assise).
Appeler René Gélinas Votre exterminateur local, Expérience et intégrité dans la gestion parasitaire
Tel 514 830 2819
L’hantavirus, définition et mode de transmission
L’hantavirus est un syndrome pulmonaire grave causé par un virus. Celui-ci est sécrété dans les urines, les excréments et la salive des animaux infectés. Le plus souvent, il s’agit de rongeurs. Quand des humains entrent directement ou indirectement en contact avec ces sécrétions, le virus leur est transmis. Idem quand ils sont mordus par des rongeurs infectés.
Toutefois, le virus ne se transmet pas d’homme à homme, uniquement d’animal à homme. On appelle ce type de maladies des zoonoses parce qu’elles ne peuvent se transmettre à un homme que par un animal. Il a été constaté que les animaux domestiques (à part le rat domestique) et le bétail ne peuvent pas contracter l’hantavirus donc tout porte à croire que seuls les rongeurs peuvent le transporter.
Symptômes de l’hantavirus
Étant une maladie pulmonaire, l’un des symptômes caractéristiques de l’hantavirus est la difficulté à respirer. Au début de la maladie, la personne infectée commence à ressentir de la fièvre, des frissons, un mal de tête et des douleurs musculaires.
C’est environ deux semaines après l’apparition des premiers symptômes que ceux-ci s’accompagnent généralement d’une impression d’essoufflement. Néanmoins, cette dernière manifestation de la maladie peut s’observer après deux jours comme après six semaines ; cela dépend de l’organisme de l’individu.
L’hantavirus peut également entraîner des maladies ou des infections rénales. Et bien qu’elles soient rares et que très peu de personnes y soient sujettes, il n’existe à ce jour aucun traitement pour lutter contre ces maux. Il vaut donc mieux veiller à ne surtout pas les contracter.
Éviter l’infestation par un peu de discipline et de prévention :
Il est important d’agir rapidement avant que les fourmis s’installent dans la cuisine ou le garde manger, elles peuvent causer des dommages considérables. Il est recommandé de ne rien entreposer près d’un mur, corde de bois ou toute autre chose, vérifiez constamment les allées et venues de l’intrus, observez attentivement leurs pistes (transport d’œufs, de nourritures et de brin de scie visible) afin d’y remédier rapidement.
Voici les moyens que nous offrons :
Notre équipe professionnelle, dynamique et courtoise propose des traitements adéquats pour enrailler et détruire les colonies de fourmis charpentières chez vous.
Une fois sur les lieux, nous pouvons vous faire un devis et vous proposer un moyen de prévention ou d’intervention pour éliminer le ou les nids (colonies) de fourmis charpentières. Si le prix vous convient, nous pouvons le faire sur place dans les minutes qui suivent l’estimation. Soyez rassurés de notre discrétion et de notre gentillesse.
Apparence et Comportement
Les mâles et les femelles sont très différents. Les mâles mesurent de 9 à 10 mm de long. Leur petite tête arrondie porte des yeux composés globuleux et de petites mandibules. Leurs pattes sont fragiles. Tous les mâles ont deux paires d’ailes.
Les femelles ont une constitution plus robuste. Leur tête, plus longue et plus large, porte de petits yeux composés et de fortes mandibules. Leurs pattes sont plus puissantes que celles des mâles.
Les individus femelles sont soit des reines ou des ouvrières. Parmi les femelles, seules les futures reines ont des ailes. Tant chez les mâles que chez les reines, les ailes antérieures sont beaucoup plus longues que les ailes postérieures.
La reine est la plus imposante fourmi de la colonie. Elle est généralement plusieurs fois plus grosse que les ouvrières. Les reines du genre Camponotus sont les plus grandes fourmis du Québec. Elles atteignent 18 mm de longueur.
La reine d’une colonie de fourmis charpentières a un abdomen bien développé. Il renferme le nombre maximal d’ovaires pour l’espèce ainsi qu’une spermathèque.
À l’intérieur d’une même colonie, les ouvrières prennent une apparence différente selon les fonctions qu’elles occupent : nourrices, butineuses, soldates, etc. On trouve des petites et des grandes ouvrières. Les plus grandes sont les soldates, qui protègent la colonie. La présence d’ouvrières de grande taille indique une colonie plus mature, qui vit au même endroit depuis longtemps.
L’accouplement des fourmis charpentières a généralement lieu en mai. Chaque jeune reine s’accouple avec un seul mâle et la copulation a lieu en vol. L’abdomen de la reine contient une spermathèque. Ce petit réceptacle sphérique reçoit les spermatozoïdes du mâle lors de l’accouplement.
La spermathèque produit des substances nutritives qui gardent la semence en vie durant plusieurs années, ce qui permet à la reine de pondre des milliers d’œufs sans avoir de nouveaux contacts avec un mâle.
Après le vol nuptial et l’accouplement, la reine fécondée fait tomber ses ailes en les frottant avec ses pattes. Elle cherche ensuite un endroit propice pour installer sa colonie. Il s’agit par exemple d’un tronc d’arbre, d’une grosse souche ou d’une pièce de bois. Une fois dans son nouveau domicile, la reine pond ses premiers petits œufs blancs.
Elle s’occupe seule de cette première couvée, qu’elle nourrit à partir de ses propres réserves.
Les premières ouvrières adultes sont toutes petites. Cette première génération d’ouvrières, et toutes les générations suivantes, prennent en charge les travaux de la fourmilière : entretien, agrandissement de l’abri, ravitaillement des occupants, etc. La reine est la seule femelle qui pond dans une colonie et elle consacre sa vie à cette occupation.
Une colonie est bien consolidée au bout de trois à six ans, alors qu’elle compte 2 000 ouvrières ou plus. À partir de ce moment, la reine produit à la fin de chaque été des individus ailés et sexués (mâles et futures reines). Ces nouveaux adultes reproducteurs accumulent des réserves et hibernent dans la fourmilière.
Alimentation
Les camponotes sont des insectes omnivores. Dans la nature, elles se nourrissent du miellat produit par les pucerons et autres homoptères, d’insectes et de petits invertébrés morts ou vivants, ainsi que des sucs de plantes et de fruits divers.
La nourriture est souvent consommée sur place par les fourmis chargées du ravitaillement, puis régurgitée à la reine, aux larves et aux autres ouvrières quand elles rentrent au nid. Plus rarement, la nourriture peut aussi être rapportée intacte et stockée dans le nid. Les ouvrières se déplacent jusqu’à une centaine de mètres du nid dans leur quête de nourriture.
Lorsqu’elles entrent dans nos maisons, les fourmis ajoutent à leur menu une foule d’aliments sucrés, des viandes, de la nourriture pour animaux et des matières grasses. Elles peuvent manger presque tout ce dont les humains se nourrissent. Elles cultivent le champignon dans le bois pourrit qu’elle a localisé dans un endroit humide de la charpente de la maison, exemple : lors d’un dégât d’eau.
Lorsqu’une nouvelle reine fonde une colonie, elle nourrit les premières larves à l’aide d’œufs alimentaires, qui ne renferment que des substances nutritives. La reine elle-même doit parfois se nourrir de ses propres œufs pour survivre jusqu’à l’entrée en fonction des premières ouvrières. Plus tard, en cas de stress sévère causé à la colonie, la reine peut recourir au cannibalisme pour assurer sa survie.
Autres renseignements
Toutes les maisons, sont vulnérables à l’infestation et aux dommages causés par ces fourmis ; très difficile à contrôler ; les colonies peuvent contenir de 2 000 a 6 000 individus.