Selon certaines études scientifiques, il existe plus 12 000 espèces de fourmis dans le monde et le Québec en compte 10 différentes variétés. La majorité de celles-ci n’est pas nuisible et, au contraire, elles assurent un rôle important. Ce dernier consiste à limiter l’infestation d’autres insectes nuisibles. Par contre, il existe certaines espèces de fourmis qui constituent un grand risque lorsqu’elles sont présentes dans une habitation. Dans ce billet, on vous dévoile les dégâts que leur présence peut causer et quelques mesures pour prévenir leur infestation.
Les dégâts liés à la présence des fourmis charpentières
Les fourmis charpentières sont connues comme étant les pires ennemies des maisons en bois ou celles disposant d’une charpente en bois. Elles sont capables de creuser les galeries dans les moulures ou les cadres de fenêtres. En réalité, ces fourmis ne mangent pas le bois. Elles se contentent plutôt de détruire la matière afin d’y installer leur nid. À cet effet, s’il vous arrive parfois de remarquer de la sciure fine, sachez qu’il s’agit d’un signe distinctif de la présence des fourmis charpentières. Celles-ci auraient déjà assurément élu domicile dans les entourages.
Cependant, de la même manière qu’il existe des entreprises de dératisation pour les rats, il est également possible de trouver celles qui s’occupent de l’extermination des fourmis à Montréal. Pour cela, en cas de remarque de la présence de ces nuisibles, n’hésitez pas à faire appel à un établissement de gestion parasitaire. Autrement, ils peuvent prendre possession de la maison en mettant en danger la structure du bâtiment. À noter qu’il existe d’autres risques liés à leur infestation.
La fourmi charpentière peut donner un coup au moral
À l’instar du rat domestique, la fourmi charpentière fait partie des espèces les plus fréquentes. Généralement, elle vit à l’extérieur, mais si votre maison lui offre une source de nourriture ou de chaleur qui lui convient, elle peut la coloniser. En effet, cette espèce de fourmi ne constitue pas un danger comme beaucoup le conçoivent. Toutefois, voir sa procession dans votre cuisine peut véritablement donner un coup au moral. Si vous êtes fragile, cela peut effectivement avoir un impact psychologique. C’est ce que de nombreuses personnes ignorent, alors qu’il s’agit d’une dimension que vous ne devriez pas normalement négliger. Pour cela, il est conseillé de faire rapidement appel à un exterminateur à Montréal.
Un combat inégal contre les fourmis peut mener à l’épuisement psychologique
À Québec, il n’y a encore aucune espèce de fourmi qui constitue un danger pour la santé de l’homme. La plupart des risques à ce sujet sont principalement matériels et psychologiques. Comme signalé plus haut, le côté matériel concerne la dégradation du bois. En ce qui concerne l’aspect psychologique, en dehors de l’effet négatif qu’une procession d’insectes peut avoir sur la psychologie des personnes fragiles, il existe un autre détail à ne pas négliger.
En effet, lorsque les fourmis apparaissent en procession, naturellement, on s’acharne par tous les moyens personnels pour les éliminer. Par exemple, de nombreuses personnes ont généralement recours aux produits en vente en quincaillerie pour traiter eux-mêmes le problème. Malheureusement, ceux-ci sont moins puissants que le traitement des produits professionnels. Ainsi, même après usage, les utilisateurs constatent malheureusement que les insectes réapparaissent en grand nombre. Cela suppose qu’ils doivent reprendre le traitement qui n’aura à nouveau aucun effet.
Ce combat inégal mène généralement à l’épuisement psychologique de l’homme. Aussi, il importe de signaler qu’en utilisant des produits en vente libre pour traiter le problème, on court le risque d’impacter négativement la santé des résidents et celles des animaux domestiques. Tous ces faits réunis montre ce qu’est l’infestation des fourmis charpentières et qu’il ne faut pas la prendre à la légère. C’est justement dans cette perspective que vous devez recourir à un groupe d’extermination.
Infestation de fourmis charpentières : quelques mesures de prévention
Chez la coquerelle, l’accouplement se fait en général par parade. Après avoir tapoté le dos de la femelle à l’aide de ses antennes, le mâle de cette espèce reste collé à elle pendant plus d’une heure.
Une fois qu’elle a été fécondée, la femelle fabrique ce qu’on appelle une oothèque à l’intérieur de son abdomen. Elle la laisse au bout de deux jours dans un endroit sous des débris, à l’abri de la lumière.
Cette oothèque, d’une douzaine de millimètres, peut contenir jusqu’à 18 œufs. Il faut une cinquantaine de jours pour que des nymphes en sortent. Les nymphes ressemblent déjà aux adultes mais elles sont plus petites, ont des ailes peu développées, et des organes sexuels encore immatures.
Ces dernières subissent 13 mues et finissent leur développement à peu près lorsqu‘elles atteignent l’âge de six ou neuf mois. Au bout de 20 mois à peu près, les larves effectuent 13 mues. À chaque fois qu’il subit une mue, le corps de la blatte américaine devient mou et blanchâtre, puis retrouve un peu plus tard son aspect normal.
À chaque ponte, la femelle peut pondre 9 à 10 oothèques. Cela fait qu’au cours de sa vie, elle peut pondre à peu près 80 oothèques. Donc, une seule femelle peut être à l’origine de 1440 autres cafards.
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L’hantavirus, définition et mode de transmission
L’hantavirus est un syndrome pulmonaire grave causé par un virus. Celui-ci est sécrété dans les urines, les excréments et la salive des animaux infectés. Le plus souvent, il s’agit de rongeurs. Quand des humains entrent directement ou indirectement en contact avec ces sécrétions, le virus leur est transmis. Idem quand ils sont mordus par des rongeurs infectés.
Toutefois, le virus ne se transmet pas d’homme à homme, uniquement d’animal à homme. On appelle ce type de maladies des zoonoses parce qu’elles ne peuvent se transmettre à un homme que par un animal. Il a été constaté que les animaux domestiques (à part le rat domestique) et le bétail ne peuvent pas contracter l’hantavirus donc tout porte à croire que seuls les rongeurs peuvent le transporter.
Symptômes de l’hantavirus
Étant une maladie pulmonaire, l’un des symptômes caractéristiques de l’hantavirus est la difficulté à respirer. Au début de la maladie, la personne infectée commence à ressentir de la fièvre, des frissons, un mal de tête et des douleurs musculaires.
C’est environ deux semaines après l’apparition des premiers symptômes que ceux-ci s’accompagnent généralement d’une impression d’essoufflement. Néanmoins, cette dernière manifestation de la maladie peut s’observer après deux jours comme après six semaines ; cela dépend de l’organisme de l’individu.
L’hantavirus peut également entraîner des maladies ou des infections rénales. Et bien qu’elles soient rares et que très peu de personnes y soient sujettes, il n’existe à ce jour aucun traitement pour lutter contre ces maux. Il vaut donc mieux veiller à ne surtout pas les contracter.
Mœurs des blattes américaines, en quoi leur intrusion nous est nuisible ?
La blatte américaine affectionne les endroits chauds et humides. Mais cet insecte meurt automatiquement lorsqu’il fait un peu trop frais.
En matière d’alimentation, le cafard (autre nom de cet insecte) est un insecte omnivore. Ses habitudes alimentaires vont des éléments végétaux en décomposition aux carcasses d’animaux.
Lorsque cet insecte assiège une habitation, son alimentation change. Il se nourrit alors de tout ce qu’il trouve comme (viandes, des céréales, des fruits, des pâtes alimentaires, etc.)
La blatte américaine va même jusqu’à manger du savon, des cheveux et parfois des matières fécales.
La coquerelle se nourrit aussi de colle de reliure, de vêtements ou encore de ses congénères lorsqu’ils sont blessés ou morts.
Cet insecte est vecteur des parasites. Lorsqu’il entre en contact avec les vivres, il contamine la nourriture en déposant des germes pathogènes qui se sont accrochés à ses pattes lors de ses déplacements. Après consommation de ces denrées contaminées, on peut souffrir de gastroentérite, de diarrhée et autres types de maladies intestinales.
La blatte américaine peut quelques fois causer des réactions allergiques. Cette allergie peut être une réaction cutanée ou des problèmes de respiration. Il arrive aussi que les microbes véhiculés par les cafards soient sources de crise d’asthme.
Comment prévenir une infestation ?
Dans le but d’anticiper une intrusion de coquerelles, il faut :
- Utiliser des sacs en plastique plutôt que des contenants en papier pour le transport des aliments ;
- Vérifier, avant d’introduire des contenants chez vous, s’ils ne contiennent pas d’oothèques;
- Garder la nourriture dans des contenants hermétiquement fermés. Il est préférable que ces contenants soient en verre ou en plastique ;
- Rincer tous les contenants de nourritures et surtout ne pas oublier de jeter les déchets organiques dans une poubelle qui se ferme hermétiquement ;
- Mettre la vaisselle sale dans de l’eau savonneuse si vous n’avez pas le temps de la laver ;
- Déplacer les gamelles des animaux domestiques afin de les mettre hors d’atteinte des blattes américaines. Mettez-les par exemple dans un réfrigérateur ; ou alors utilisez des bols munis de couvercle ;
- Installer des grillages au niveau des ouvertures qui sont en communication avec les autres pièces de la maison ;
- Eviter de surchauffer la maison car la chaleur favorise la prolifération des insectes tandis que la fraîcheur les ralentit ;
- Passer régulièrement l’aspirateur afin de se débarrasser des sources de nourriture des blattes américaines, des blattes elles-mêmes, et de leurs œufs. Plongez ensuite le sac d’aspirateur dans de l’eau savonneuse. Ainsi, vous vous assurerez d’exterminer toutes les blattes américaines qui s’y retrouveraient ;
- Faire comprendre à tous les membres de votre entourage l’importance de prendre de telles précautions.
Quelles solutions emploie l’exterminateur professionnel ?
Pour éliminer les blattes américaines, l’exterminateur expert à Montréal dispose de plusieurs solutions : le traitement chimique, les pièges, et le nettoyage à la vapeur.
- Le traitement chimique
L’exterminateur professionnel utilisera des pesticides homologués par les services sanitaires canadiens. Etant donné que certaines blattes ont développé des résistances à des insecticides, le professionnel saura choisir un insecticide qui détruira les blattes américaines.
- Les pièges adhésif et empoisonnés
L’exterminateur professionnel saura s’en servir pour vous débarrasser de ces bibittes indésirables.
- Le nettoyage à la vapeur :
L’exterminateur professionnel nettoie à la vapeur tous les objets (meubles, objets d’artisanat, etc) infestés tout en veillant à ce que rien d’autre ne soit endommagé.
- La congélation
L’exterminateur peut congeler les objets infestés à – 8°C pendant au moins une journée.
Toutefois, Sachez qu’un exterminateur professionnel doit disposer :
- D’un permis d’exercice délivré par le Ministère de l’Environnement Durable du Québec portant la mention CD5 : Extermination ;
- De techniciens certifiés professionnels en extermination ;
- D’une méthode de travail efficace : il se rend promptement sur les lieux de l’infestation. Il détecte la source de l’invasion et vous propose des solutions adéquates ;
Après le traitement, il vous met au courant des précautions à prendre pour prévenir une future intrusion de coquerelles ;
- Utilise des véhicules non-identifiés et agit en toute discrétion ;
- Assure l’efficacité du traitement appliqué contre l’attaque de blattes américaines;
- Choisit à sa juste valeur les pesticides à utiliser pour élimer les blattes américaines.
Et vous, avez-vous déjà été victime d’infestation de blattes américaines ? Si oui, comment avez-vous procédé à leur élimination ? Partagez avec nous votre expérience dans les commentaires à suivre.